La fantasy, c’est plat, c’est fade, c’est tout le temps pareil, c’est écrit par des anglais ne sachant pas écrire, pour des ados ou des gros geeks qui ne lisent que des daubes, et qui donc n’ont aucune exigence.
C’est un peu vrai… et un peu faux aussi. J’en veux pour preuve cet excellent texte rédigé par un auteur que je ne connais pas, mais dont j’apprécie le travail (non, je ne copine pas… – et dans copine, y a …).
Notez le ton particulier, la narration spécifique, le style, la technique, et vous ne verrez plus la Fantasy comme avant, vous comprendrez combien depuis des années, on vous ment ! On vous raconte des carabistouilles !
Car oui, la Fantasy, ça peut être aussi de la grande littérature (et pas que du Christopher Paolini).
Car oui, la Fantasy, ce n’est pas des gamins insupportables, élus par une prophétie, plein de pouvoir dont ils n’ont pas conscience.
Car oui, la Fantasy, c’est une histoire d’homme ! Dehors Zora la rousse ! Revient Kalidor !
Et Car oui, la Fantasy, c’est une écriture orale !
Allez, à vous de juger :