Premiers retours sous Sigil

Avertissement : Sigil n’a rien à voir avec ça :

Vieux rôliste tombé là par hasard, tu peux retourner à ta collection 🙂
Non, il s’agit d’un logiciel qui permet d’écrire un ebook, sans se prendre la tête avec les conversions (conversions souvent galères avec les styles, les sauts de pages etc).

Sigil donc, ressemble à ça :
Moins glamour que le jdr hein !
Notez le haut, qui reprend des options standards. Nous y reviendrons. Ensuite la colonne de gauche, celle du centre et celle de droite.
Résumons rapidos parce que faut-que-ça-va-vite :
– Gauche : les objets du livre (pages, images etc),
– Centre : le texte,
– Droite : les titres.

1. Ecrire

Dans la case centrale.
Vous pouvez y vomir toute votre bile jusqu’à plus soif. Pas de soucis.
Mise en page :
– les titres : à gérer avec les options Hx

– l’alignement : options classiques

Attention : pas de sauts de page. Faites un fichier par chapitre.
Exemple ma page par défaut (que l’on peut renommer « Chapitre un’ avec un judicieux clic droit)

Je souhaite passer « au chapitre 2 », clic droit, vous connaissez la chanson :

Et paf, y en a 2 !

2. Ma supacouv de book !

J’ai fini mon texte. Je souhaite ajouter une couv à ma nouvelle/novella/roman (ayer la mention inutile).
D’abord j’insère une image : faut cliquer sur l’icone « image » (difficile hein)

La fenêtre pour choisir son image est juste chelou. Il ne faut pas y prêter grande attention. Suffit de cliquer sur « Other Image » et tout roule.

Avertissement : Sigil a la fâcheuse tendance à inclure tout de suite l’image insérée dans le texte. Faut la virer illico presto !
Malgré tout, elle reste intégrée dans les objets :

Pour la définir comme couv, suffit de faire un clic droit / « Ajouter notions » / « Image de couverture »
(toujours compliqué)

Une fois fait, c’est fini 🙂

3. Des titres à la table des matières

On va utiliser les options Hx (je les recolle pour mémoire).

On a donc un texte comme ça dans mon premier chapitre (n’oubliez toujorus pas : un chapitre par fichier html):

Et quasi le même dans la seconde : Titre 2, titre 2.1, titre 2.2 et ainsi de suite.
Je souhaite faire ma table des matières. Rien de plus facile :
Je clique sur « Table of Contents » (et content vous allez l’être) et sur « Generate etc – sous savez lire ».

Une petite mais intelligente s’ouvre pour vous demander quels titres sélectionner :

C’est intelligent parce qu’on peut choisir le degré d’arborescence.

Vient ensuite l’affichage dans la colonne de droite :

Vous me direz : « Ouais c’est cool, ça envoie du bois, mais ça sert à quoi ? ». Je vous répondrai, vile foutriquet, que ça sert à faire votre table des matières pour votre ebook ; la dernière page, avec des liens, vous visualisez là ?

4. Les Métadonnées

Texte, couv, table des matières, c’est bien mais pas suffisant pour se la raconter.
Passons aux… Métadonnées !

Là encore, c’est un truc… à tomber dingue :

Rien à ajouter, les images parlent d’elles-mêmes.
Les options sont classiques et efficaces :

Voilà…

De là, vous n’avez plus qu’à… sauvegarder…

5. La sauvegarde

Juste for fun :

Et là, la promesse d’un avenir meilleur :

Notez le « .epub ».

Conclusion :
Ce logiciel est d’une simplicité incroyable. N’importe quel abruti, aussi abruti que moi, doit s’en sortir !
J’ai converti les fichier réalisé en .mobi (pas le chanteur !) et tout c’est passé nickel. Même pour un abruti tel que moi !
Donc : pas de problème de gestion, pas de problème de saut de page, pas de truc bizarre ; pour moi, c’est un des meilleurs logiciels en la matière.

Il existe des options avancées, mais je n’ai pas eu le temps de les creuser. Je ne suis même pas certain d’en avoir besoin. L’avenir le dira.

Allez, je vous lèche, j’ai de l’epub sur le feu !