J’ai retrouvé dans mes cartons une vieille édition de “Sa majesté des mouches” de William Golding, qui s’appelait à l’époque simplement Golding, l’éditeur ayant perdu son prénom lors de l’impression de la couverture (balo n’est ce pas ?). Je me suis donc dit : “Ah, v’la ti pas un truc m’rrant qu’l’air sympa avec un tit’ ‘trange” (ouais, je me parle en imitant un paysan seine-et-marnais).
Ma vieille édition avait deux autres points étranges : p 176, oublierons est devenu publierons ; et je ne sais plus qu’elle page, la pluie est devenue la puie. Bon, why not, après tout, … Lire la suite