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Ne touchez plus votre smartphone !
Nan, je déconne. Après trois semaines et demi, j’arrête ma réflexion. J’ai décidé de publier sur les réseaux comme suit :
– priorité au blog : avec en moyenne, un article par semaine (modulo le boulot, les vacances, etc),
– confidences pour confidences sur le tipeee une fois par mois.
– Mastodon : J’y balancerai des âneries et des pensées, peut-être des infos, ce sera mon rs privilégié.
– Bluesky ? J’y suis peu. C’est un réseau « attrape attention » et j’y suis sensible…
– Facebook / Insta : des publications rares, suivants mes envies. J’y posterai le moins possible.
Est-ce que c’est beaucoup ? Oui. Le risque d’éparpillement est non négligeable.
Est-ce que c’est suffisant ? Aucune idée. Tout dépend de ce qu’on cherche avec ces réseaux. Suivre l’actualité ? Mieux vaut Bluesky. Échanger ? Bin faut pas un algo qui vous invisibilise. Donc Masto. Faire un peu une comm / de confidence / parler du back office ? Plutôt ici. Et sur Tipeee.
Voilà. Maintenant que fois cette ligne définie, je vais tenter de la tenir quelques temps et voir si elle nécessite un ajustement.
Plus largement, on pourrait s’interroger sur : est-ce que la présence sur les réseaux est indispensable ? Oui et non. Je sais pas. L’objectif est d’assurer une présence en ligne, pour… pour quoi au juste ? Pour se créer une commu ? Pour que les autres sachent ce qu’on fait ? Pour exister ? Pour le…
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Peut-être juste pour être en contact et provoquer les possibles, les rencontres, les opportunités, les projets et peut-être surtout pour se sentir dans une communauté. Mais laquelle ? Celle des auteurs. Celle des rolistes. Celle des sportif (modeste). Toutes en même temps ?
L’humain est un être grégaire. Il apprécie la compagnie des autres, l’échange qui en découle et parfois, les remises en question qui permettent d’avancer.
Étant un humain comme un autre, je resterai donc connecté pour toutes ces raisons.
Bon et maintenant, côté taf ?
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(Ce ne sont pas mes mains, et pas mon ordi, je bosse sous Scrivener)
Après une longue relecture de la moitié de Myala 3, une réorganisation du plan, l’ajout d’éléments, le retrait d’autres, le début commence à bien percuter. J’entre donc dans la seconde partie du roman avec ce souci de ne plus ouvrir de nouvelle piste, de refermer les arcs narratifs les uns après les autres, dans un ordre plaisant, logique et percutant.
Là je vous entends : « si tu faisais un plan carré, tu saurais comment gérer ta fin ». Certes, mais j’aurai plus aucune envie de l’écrire.
Ce que j’aime quand j’écris, c’est laisser les personnages vivre leur vie, me surprendre, m’imposer leurs logiques et devoir réagir à leurs actions.
Et là j’entends les plus relous d’entre vous me balancer : « Ah oui, genre tu fais une partie de jdr solo avec tes personnages ? »
Y a de ça, oui.
Mais cette fois c’est un peu différent : j’anticipe un peu les volumes suivants. Quels détails utiliser dans quel volume et combien de tomes au final ? L’avenir se dessine doucement.
Pourquoi ? Parce que d’autres projets m’attirent. Et que je compte poursuivre l’expérimentation pour m’améliorer en tant qu’auteur et repousser mes limites.
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Enfin voilà.
Allez, sur ce j’y retourne.
À bientôt.
Lilian.