C’est un peu le bordel dans ma tête ces derniers temps. C’est plutôt habituel, alors c’est pas grave. Le point d’avancement sur les projets est donc chaotique, sachant que les urgences urgentes se chassent les unes les autres. Car oui, le planning n’est pas carré. Comme dirait Davoust, l’important c’est de « toucher ton histoire » – et ce n’est pas dégoûtant…
Faisons le point.
La série Les robots : titre temporaire pas terrible
Toujours entre les mains curieuses et exigeantes de l’éditrice. J’attends avec impatience qu’on attaque les corrections éditoriales.
Roman en cours : pas de titre temporaire
J’ai fini d’écrire la partie 1, je suis sur la 2, j’avance un peu à l’instinct en prenant des notes, en m’appuyant sur les éléments logiques et sur les personnages et pour le moment, ça semble prendre une belle forme.
Au fond, dans l’opposition jardinier / architecte, je crois avoir trouvé ma voie. Je suis une sorte de structuraliste chaotique. Ouais, ce nom sonne bien.
Releek : titre trop ouf, pour une fois
Temps est venu de terminer ce manuscrit. Cela fait trop longtemps qu’il dot sur l’établi. J’ai donc repris les corrections avec la ferme attention de mener en parallèle le boulot sur ce manuscrit et l’écriture de celui cité juste au dessus. Dead line : 01/07/23. C’est court hein. Mais c’est pas impossible. Mais c’est chaud.
En dehors de ça ? Des projets ?
J’ai entamé le travail de recherche / lecture sur deux idées de romans que j’ai abordé ici ou sur les réseaux sociaux. Difficile de savoir quand parler d’un projet. Quand on a le pitch ? Quand on commence à écrire ? Quand on commence à corriger ? J’en sais rien. Même bien parler de ce que je tente, même quand ça s’enlise. Ça permet aux potentiels.les petits.es jeunes de constater que oui, écrire un livre, tenir un projet créa, c’est pas forcément une science exacte, ni un process très établi. Mettre en pause, y revenir, tout jeter, ou en partie, recommencer, avancer, se retrouver une nouvelle fois en pause, ça arrive. Tout comme ça arrive de « cascader »…
Cascada pour les jeunes…
… comme dirait Stéphane Desienne.
Donc oui, y a d’autres projets dont j’ai parlé (Fazer) ou pas (pour lesquels je lis des jeux de rôle… oui pour écrire un roman, il m’arrive de lire des jeux de rôle, on pourra aborder ça une autre fois si tu le souhaites :)).
Un dernier point me titille : je suis en manque d’éparpillement. Scénario, podcast, blog, les envies se multiplient et je les maîtrise avec plus ou moins du succès. Dernier exemple en date, un pote m’a demandé de chroniquer un excellent groupe de Laval et franchement, ça a été une superbe surprise.
La chronique est là si tu es curieux : https://hexalive.rocks/on-a-entendu/the-discord-an-ocean-of-fears/
Allez, j’y retourne.
La biz !