Donner son avis sur Fahrenheit 451, c’est un peu comme faire un discours lors d’un repas de famille. Tout le monde vous regarde, et vous avez ce poids là, sur la poitrine, qui vous pèse. Vous vous sommez de ne pas bafouiller, et bafouiller s’insinue dans votre esprit, dans votre mâchoire, dans les muscles qui la commandent. Vous faites tinter votre verre avec votre fourchette, et le silence se fait.
Et là, ça criant.
Ça craint parce que quoi que vous disiez, vous connaissez l’avis des autres (et la vie des autres, mais ça, c’est une autre histoire).
Un petit … Lire la suite