Pour poursuivre mon trip apo / post apo (tout ça à cause d’un appel à texte de Réalités INC), j’ai lu mon premier Fabrice Colin, La fin du monde. Avant de dire tout le bien que je pense de ce bouquin (Merde, j’ai tout pété le suspens !), je me suis interrogé à travers mon psy :
– Vous aimez les grosses apocalypses ?
– Oh oui, très grosses.
– Grosses comment ?
– Comme un champignon nucléaire…
– Gourgandin ! Je vais te montrer mon champ…
Wooo, ça dérape. Revenons à nos apos.
Après le-livre-dont-on-ne-doit-plus-parler, je me suis dit … Lire la suite